mardi 17 octobre 2006
Un molosse sous Prozac
C'est le titre de l'article que j'ai lu hier dans le journal Le Matin. Il y avait d'ailleurs eu un article semblable il y a quelques jours dans la Tribune de Genève.
On y apprend que le chien qui avait attaqué et mordu une fillette l'année dernière à Genève était en fait sous Prozac !
Un vétérinaire déclare qu'un chien estimé trop "angoissé" ou trop "excité" peut se voir prescrire un antidépresseur.
Résultat : le chien en question est devenu encore plus dangereux.
On peut comparer ce triste épisode aux fusillades commises dans des établissements scolaires américains. La plupart des tireurs étaient en fait sous traitement psychiatrique à base d'antidépresseurs. Cela leur a fait perdre complètement les pédales.
Je n'aurais jamais pensé que l'on donne les mêmes drogues à des animaux.
Quel lobbying doivent exercer les labos pharmaceutiques pour en arriver là !!!
J'espère que ces articles de journaux vont faire réfléchir les propriétaires de chiens (ou autres animaux) ainsi que les vétérinaires. Et qu'on ne commencera pas à droguer des lions, des taureaux, des tigres ou autres fauves... Je n'ose pas imaginer le résultat !
On y apprend que le chien qui avait attaqué et mordu une fillette l'année dernière à Genève était en fait sous Prozac !
Un vétérinaire déclare qu'un chien estimé trop "angoissé" ou trop "excité" peut se voir prescrire un antidépresseur.
Résultat : le chien en question est devenu encore plus dangereux.
On peut comparer ce triste épisode aux fusillades commises dans des établissements scolaires américains. La plupart des tireurs étaient en fait sous traitement psychiatrique à base d'antidépresseurs. Cela leur a fait perdre complètement les pédales.
Je n'aurais jamais pensé que l'on donne les mêmes drogues à des animaux.
Quel lobbying doivent exercer les labos pharmaceutiques pour en arriver là !!!
J'espère que ces articles de journaux vont faire réfléchir les propriétaires de chiens (ou autres animaux) ainsi que les vétérinaires. Et qu'on ne commencera pas à droguer des lions, des taureaux, des tigres ou autres fauves... Je n'ose pas imaginer le résultat !
Libellés : antidépresseurs, psychiatrie
mercredi 11 octobre 2006
Droits de l'Homme
Un jeune réalisateur sud-africain, Taron Lexton, a réalisé 30 petits films de quelques minutes - un pour chaque article de la Déclaration universelle des Droits de l'homme. Il les a tournés pour l'association Youth for Human Rights (les Jeunes pour les droits de l'homme), une association créée il y a quelques années et dont le but est de faire connaître aux jeunes (et aux moins jeunes) leurs droits. Le site de cette association se trouve sur www.youthforhumanrights.org.
J'ai vu et revu ces courts métrages et je ne m'en lasse pas. En quelques minutes on prend conscience de l'importance de chacun de ces droits. J'ai réalisé combien ils étaient bafoués quotidiennement, non seulement dans des pays lointains, mais aussi ici, en Suisse ou en Europe.
Par exemple, le film du droit numéro 12, le droit à la vie privée, illustre comment ce droit peut être violé dans les écoles ou sur les lieux de travail. En le regardant j'ai repensé à des scènes que j'ai vécues quand j'étais en classe...
Je vous conseille de regarder ces films en cliquant sur le lien http://www.youthforhumanrights.org/watchads/index.html
Je pense que vous allez être ému tout comme moi en les visionnant...
J'ai vu et revu ces courts métrages et je ne m'en lasse pas. En quelques minutes on prend conscience de l'importance de chacun de ces droits. J'ai réalisé combien ils étaient bafoués quotidiennement, non seulement dans des pays lointains, mais aussi ici, en Suisse ou en Europe.
Par exemple, le film du droit numéro 12, le droit à la vie privée, illustre comment ce droit peut être violé dans les écoles ou sur les lieux de travail. En le regardant j'ai repensé à des scènes que j'ai vécues quand j'étais en classe...
Je vous conseille de regarder ces films en cliquant sur le lien http://www.youthforhumanrights.org/watchads/index.html
Je pense que vous allez être ému tout comme moi en les visionnant...
Libellés : droits de l'homme
